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 L’émergence de Sainte-Samara et du culte de l’Unique.

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Andrea Brimmer

Andrea Brimmer


Messages : 21
Date d'inscription : 15/09/2018
Localisation : Ynis Vitrin

L’émergence de Sainte-Samara et du culte de l’Unique. Empty
MessageSujet: L’émergence de Sainte-Samara et du culte de l’Unique.   L’émergence de Sainte-Samara et du culte de l’Unique. Icon_minitimeDim 21 Oct - 17:46

Ce receuil simple, arborant quelques images et symboles oubliés, est un récit historique gardé sous silence par le culte de l'Unique. Cependant, cela n'empêche pas de voir quelques rares exemplaires en des lieux civilisés n'étant pas encore sous l'emprise de cette église. À Ynis Vitrin, seuls des nobles bien connectés ou des membres élevés du culte de l'Unique peuvent y avoir accès facilement.


L’émergence de Sainte-Samara et du culte de l’Unique.



Préface

Je me présente, Roderick Hubbart, historien et écrivain de Holmfirth, cité cosmopolite accueillant le plus grand nombre d’érudits de notre temps. Sans nul doute est-ce parce que notre cité n’a aucun temple religieux, et que ceux qui cherchent à apprendre sur le monde de façon logique sont les bienvenus ici. Je tiens à rassurer mon auditoir: je puis dire que le récit qui suit est véridique, car j’étais présent lors des faits, ou assez du moins pour confirmer les dires de mes sources, alors que d’autres de mes sources sont si éminentes que l’on ne pourrait les contredire. De plus, je ferai de mon mieux pour présenter les faits de façon neutre et entièrement objective.

Puisqu’il sera question de magie et de religion, cependant, je dois admettre avoir reçu l’aide de confrères plus érudits en ces arts. Les opinions présentées sur ces sujets seront donc les leurs, et vous trouverez à la fin une liste exhaustive de mes sources.



Partie 1: La théorie sur la non-existence des dieux.

Il y a plusieurs années de cela, alors que les races se côtoyaient toutes dans une paix relative et que plusieurs types de magie existaient côtes à côtes, il eut lieu une rencontre philosophique importante d’un regroupement de magiciens, sages et autres érudits provenant de quelques familles nobles et puissantes. On le nomma le Conseil des Sages. Parmi les questions abordées vint la question sur l’existence des dieux. De là fût émise une théorie intéressante : et si les dieux n’existaient pas vraiment? Selon plusieurs adeptes, quelques rares gens ayant une volonté puissante pouvaient, après tout, réussir à invoquer de la magie semblable à la magie arcane en puisant l’énergie dans leur propre esprit, plutôt que d’avoir recourt à des rituels ou sortilèges arcanes. La magie divine proviendrait-elle de cette même source?

Lorsque questionnés, nombre de prêtres s’opposèrent à cette idée: plusieurs prétendaient avoir eu un contact direct, voir physique, avec leurs dieux respectifs. Cependant, s’était uniquement le cas des plus fervents croyants, ou des plus puissants prêtres lanceurs de sorts, et encore, les descriptions étaient souvent différentes, ou alors le "contact" était seulement dans leur tête, affirmation n’allant pas à l’encore de la théorie. Certes, certaines religions d’alors étaient des arnaques, et leurs clergés abusaient souvent de leurs pouvoirs, mais les plus pieuses et crédibles d’entre elles tenaient aussi un discours semblable.

Il en sortit cependant une objection importante et irréfutable: si les dieux n’existent pas, comment se fait-il que certains croyants détiennent à eux seuls des pouvoirs qui tiennent presque du miracle, parfois même plus puissants que plusieurs magiciens réunis? Il fut mentionné que c’était le cas en particulier pour les "élus", ces rares personnes prétendants être envoyés dans le monde par leurs dieux, et ayant assez de pouvoir pour être crus, même par les sceptiques.

Cependant, certains érudits réfutèrent l’objection, car si les croyants tiraient leur magie divine non seulement de leur esprit et de leur volonté, mais aussi de celles de leurs confrères qui partagent les mêmes croyances, alors cela pourrait expliquer les miracles et autres actes en apparence divine. Ainsi, plus une religion a de priants, plus ce pouvoir est accessible à ceux d’entre eux ayant la force de volonté pour la saisir. Et pour résoudre l’énigme des « élus », il fut théorisé que lorsqu’un prêtre ayant atteinte un niveau de pouvoir remarquable est vénéré par son église, sa puissance serait encore plus augmentée, gonflé de la volonté de ses confrères et de sa propre croyance erronée sur sa propre nature, le menant à être incapable de distinguer la réalité de ses croyances. Une telle personne pourrait bel et bien sombrer dans la folie et être parfaitement honnête lorsqu’il vous dit croire qu’un tel dieu l’ait envoyé sur notre monde. Cela est sans parler, bien sûr, des gens malhonnêtes et ambitieux qui pourraient abuser de la crédibilité de leurs fidèles pour renforcir leur pouvoir, car ce genre de personnage ne manque guère dans les cultes religieux.

À la suite de nombreuses sessions, il fut raisonné que cette théorie était plus logique, et les sages en convinrent donc que les dieux n’existaient probablement pas, jusqu’à preuve du contraire. Ils firent aussi la suggestion que les villes séparent leur pouvoir de celui des cultes, afin de prévenir toute manipulation politique. Aucun interdit de pratiquer la religion fut cependant émis, car après tout, certaines religions bonnes avaient au moins l’avantage d’être bénéfique pour la populace, alors qu’une guerre de croyance n’était guère souhaitable.




Partie 2: La guerre sainte.

Avec les années, plusieurs communautés humaines, érudites et civilisées, adoptèrent la théorie sur la non-existence des dieux et se séparèrent de leurs religions officielles, et beaucoup d’églises perdirent peu à peu leurs croyants. Même des prêtres virent à douter de leurs dieux, et tout comme pour confirmer la théorie, les pouvoirs de leurs confrères diminuèrent au fur et à mesure que le nombre de croyants baissait. Plusieurs peuples, incluant celui d’autres races, tels les nains et les elfes, refusèrent cette théorie en bloc, mais nul ne voulait partir en guerre à propos de cela, et les relations restèrent pacifiques, bien que quelque peu tendues.

Cependant, certaines communautés humaines anciennement dirigées par des églises égoïstes ou guerrières devinrent hostiles à toutes les religions, bien que certaines églises chassées purent se réfugier chez les civilisations des autres races, qui les accueillirent à bras ouverts, pour la plupart. À la longue, cela envenima les relations entre les peuples, jusqu’à ce qu’une guerre sainte éclate.

Plusieurs armées saintes furent formées par les humains croyants et les autres races pour ramener leurs croyances chez les humains civilisés. Ce sentant menacés, les royaumes humains qui ne priaient plus de dieux s’allièrent, chassèrent les autres races de leurs cités, puis ils déclarèrent la guerre à cette armée sainte. Certaines familles nobles étaient contre la guerre, chez les humains, comme chez les autres races, mais ils ne purent convaincre leurs dirigeants à temps. Plusieurs années de guerre sanglante et destructive étaient à craindre.

Heureusement, la guerre ne dura que quelques jours, grâce à l’intervention de Samara Brimmer, une vieille et puissante magicienne d’une famille noble et érudite. Les deux armées formèrent un front gigantesque, occupant la majeure partie de la plaine à l’est de Holmfirth, aujourd’hui nommée Plaines de la Révélation, ou Plaines de la Désolation, dépendamment à qui vous le demandez. Quoi qu’il en soit, quelques jours après le début des hostilités, alors que des milliers de morts et de blessés jonchait la plaine dévastée par les sorts arcanes et divins, Samara Brimmer alla seule rencontrer les chefs de l’armée sainte pour négocier. Usant de sa magie arcane pour que sa voix soit entendue de tous à des kilomètres, elle leur présenta des termes de négociation.


— « Tout ce massacre n’a eu lieu qu’à cause de divergences théologiques. Alors je mets vos croyances au défi! Je ne crois en aucun dieu, sauf en moi-même, et je vous montrerai que vos pouvoirs divins sont faux. Demain, à midi, je résisterai SEULE à toutes attaques, divines ou magiques, que vous me lancerez, et je vaincrai SEULE vos Archiprêtres et vos "Élus".»


Elle se retourna vers son propre front, vraisemblablement aussi surpris que le front ennemi.

— « Entre temps, en tant que tête qu’Archimage et matriarche de la famille Brimmer, j’ordonne à ma famille, à nos alliés, et à tous qui ne veulent plus voir de religion causer de massacre comme celui-ci, de cesser les hostilités et de prier pour moi d’ici-là. Montrez-leur que leurs pouvoirs ne sont pas la justice divine, mais bien uniquement des dons spirituels. Priez! Faites de moi la seule "divinité" capable de les repousser et de mettre un terme à ce massacre.»


Se retournant vers l’armée sainte, elle conclut sur un ton dramatique.

— « Si demain, je meurs, alors j’ordonne à mes troupes de se rendre, et vous récupérerez votre place dans ce pays. Mais si je survis, je veux que vous abandonniez vos faux dieux et que vous me priiez moi, pour implorer mon pardon et celui des morts.»


Les armées commandées par la famille Brimmer étaient loyales et se mirent aussitôt à genou. Plusieurs dirigeants étaient forts irrités que des termes aient été négociés sans leurs accords, mais ils ne pouvaient se permettre de perdre l’appui des Brimmer dans cette guerre.

Chez le front adverse, le défi provoqua les rires de centaines de prêtres, capables ensemble d’élever des protections et des sorts de soins capables de repousser une armée et ses magiciens sans problèmes jusqu’ici. Alors que tous attendaient la réponse de l’armée sainte, le silence se fit pendant plusieurs minutes. Puis, les chefs des religions acceptèrent les termes, et les armées s’éloignèrent de la plaine.

Les éclaireurs des deux camps racontèrent que Samara passa toute la nuit à visiter chaque mort sur le champ de bataille, à prier pour la paix de leur âme, qu’ils soient amis ou ennemis, et que chacun reçut une bénédiction sur le front. Dans le camp non croyant, il y eut un malaise, mais tous souhaitaient éviter le massacre et le retour des faux dieux, alors la plupart prièrent comme ils purent, s’accrochant à cet unique espoir. Chez les armées saintes, beaucoup étaient humbles face au sacrifice que cette humaine allait encourir pour cesser cette guerre, alors que d’autres voyaient là la justice divine. Ils prièrent eux aussi pour leurs dieux, et se préparèrent au combat.

Aucun magicien que j’ai interrogé depuis ne croyait, alors, qu’elle pouvait s’en sortir vivante. Même si le pouvoir spirituel de la foi pouvait lui accorder une puissance supérieure à ce que tout magicien pouvait espérer atteindre seul, une armée de non-croyant ne pourrait surement pas rivaliser avec l’armée de croyants devant elle, toutes des religions puissantes, établies depuis des siècles. Au mieux, ils espéraient qu’il s’agissait d’une diversion pour quelque autre attaque-surprise, et qu’ils n’avaient pas été informés par peur des espions.

L’heure venue, Samara se tint droite et fière sur la plaine. Elle invoqua des protections magiques, et quelques autres sortilèges puissants que même les plus instruits ne purent identifier. Le silence se fit. Plusieurs religions ne prônaient pas la violence, et leurs chefs eurent du mal à se décider. Certains prêtres quittèrent même le champ de bataille, conscient qu’ils allaient à l’encontre de leur foi, mais l’armée sainte restait substantielle, et une menace mortelle pour Samara.

Les suivants des dieux belligérants, par contre, n’attendirent pas une seconde de plus. Une clameur s’éleva, et une volée de flèches, de miracles, et d’autre puissant sortilège divins la frappèrent. Elle résista tant qu’elle put, élevant des barrières multicolores éclairant la plaine, mais ses forces l’abandonnèrent après quelques minutes, et elle fut frappée de tant de sorts qu’on ne vit que de la lumière aveuglante, suivis d’un tas de poussière par la suite. Ses plus fidèles apprentis s’approchèrent, certains gémissants et pleurants. Quelques zélés d’une religion guerrière les chargèrent et les massacrèrent, par haine ou par plaisir de tuer, sans aucun doute.

C’est alors que des nuages se mirent à assombrir le ciel, tournoyant rapidement, et jetant de l’ombre sur toute la plaine. Seul un vif rayon de lumière doré et aveuglant resta, frappant le centre de la plaine ou Samara avait rendu l’âme. Les meurtriers furent brûlés sur place, et de tous les morts, une sorte lumière sembla s’échapper et rejoindre le trou dans le ciel. C’est alors que tous virent la forme de Samara descendre du ciel, flottant lentement dans la tempête dans une sphère lumineuse. Elle atterrit à la même place, mais elle semblait rajeunie, forte et en pleine santé. Ses longs cheveux roux brillants virevoltaient dans la tempête, et lui donnait l’allure d’une flamme sur la plaine obscurcie.

Les hostilités reprirent, mais Samara ne fit que quelques mouvements gracieux, rien à voir aux mouvements frénétiques des sortilèges lancés, plus tôt. Ceux qui tentaient d’utiliser la magie divine virent tous leurs essais échouer, alors que ceux qui tentaient de l’attaquer au corps à corps ou à cheval furent brûlés vifs. Aucune flèche ne fit mouche. Une colonne de lumière vive passa sur tous les archiprêtres présents, ne laissant que des cendres. Alors, plusieurs se jetèrent à genoux, demandant la clémence. Ceux qui s’enfuirent perdirent la face, et aux dernières nouvelles, une bonne partie des religions restantes ont perdu des plumes, dans ce monde de moins en moins croyant. Cependant, la tendance allait se renverser.

À cet instant, même moi j’eus cru avoir devant moi une divinité incarnée, tant la scène était inimaginable, et j’ai pourtant eu la chance de voir de nombreux des plus grands sortilèges arcane et divins lors des affrontements précédents, bien qu’uniquement vus de loin. Le conseil des sages reste divisé sur cet événement. Les plus logiques croient que puisque le pouvoir spirituel était concentré en une seule personne, cela suffisait à rendre Samara suffisamment forte pour avoir le pouvoir de se réincarner elle-même d’entre les morts, et qu’elle effraya tant l’armée sainte que plusieurs se mirent à croire involontairement en elle, ce qui la rendit encore plus forte. D’autre, réfutèrent que la théorie n’était, qu’à la base, une probabilité, et que seul un dieu pouvait commettre des actes d’une telle puissance. Par la suite, il y eut une division : certains restaient fermement non-croyants, alors que d’autres se mirent à croire toutes sortes de choses.

Quoi qu’il en soit, à ceux qui restèrent sur le champ de bataille, amis comme ennemis, elle parla comme une déesse, promit d’apporter la paix et l’ordre, ainsi que la fin de toutes les guerres, en échange de la dévotion éternelle et unilatérale de tous. Plusieurs acceptèrent volontiers, d’autres, comme moi, restèrent sceptiques. Elle disparut ensuite dans un éclat de lumière.

Ironiquement, beaucoup de croyants perdirent leur foi en ce jour, alors que beaucoup de non-croyants devinrent les plus fervents suivants de Sainte-Samarah, ou l’Unique. Malgré mes réticences, force est d’admettre que si Sainte-Samarah à atteint un niveau de pouvoir spirituel ou divin de cette force, peut-être as-t-elle vraiment le pouvoir d’une déesse et de nous offrir un monde de paix et d’ordre, comme elle l’a promis. Jusqu’à présent, en tout cas, nous n’avons pas répertorié de croisade ou de chasse aux hérétiques de la part de son église, ce qui lui donne le bénéfice du doute, et aucune guerre majeure ne s’est déclarée depuis.




Partie 3: L’établissement de l’église de l’Unique.

Comme je le mentionnais plus tôt, il y eut, à partir de cet événement, un regain d’intérêt majeur pour la religion, mais cela s’est produit majoritairement aux dépens des anciennes religions, du moins pour les humains. Cela ne fait que quelques mois, mais même les villes civilisées parlent de construire des temples pour l’Unique. Certains croient que c’est une bonne idée, car donner plus le pouvoir à Sainte-Samarah ne peut que l’aider dans son bût ultime qui semble être de faire de notre monde un paradis.. Qu’elle soit une déesse ou tout simplement une femme puissante, si on lui donne plus de puissance, elle aura la force de régler tous nos problèmes, n’est-ce pas?

Pour l’instant, je suppose que l’on peut lui donner le bénéfice du doute. Il y a bien sûr eu quelques accrochages, car certaines villes moins civilisées ont décidé de leur plein gré de bannir immédiatement toutes les autres religions pour faire place à L’unique, mais l’église s’est empressée de s’assurer que ce genre de mouvement se ferait sans effusion de sang. Sinon, dans l’ensemble, la majorité des villes non croyantes permettent aux citoyens religieux de revenir, quoi que je doute que beaucoup d’entre eux trouvent leurs anciennes contrées aussi accueillantes.

Quoi qu’il en soit, je crois ne pas me tromper lorsque je dis que nous vivons dans une ère de paix, et j’espère sincèrement que cela durera. Je ne puis, cependant, taire les propos de certains de mes collègues scribes, car beaucoup d’encre a coulé au Conseil des Sages ces derniers temps. Certains érudits clament qu’il y a un danger a donner à une seule personne tout ce pouvoir, et que si Samara venait à en abuser, elle pourrait facilement ruiner nos civilisations et nous faire vivre une époque obscure et primitive. Cela a, bien sûr, insulté la famille Brimmer, et ceux-ci ont retiré leurs érudits du Conseil entièrement.

De plus, d’aucuns diraient qu’il y a un changement de pouvoir qui s’opère. Évidemment, la famille Brimmer est reçue partout avec maints honneurs, bien que Sainte-Samara ne soit revue qu’une fois par an, lors d’une grande cérémonie sur la plaine de la Révélation. De plus, les familles nobles qui étaient contre la guerre, ou qui supportent encore les anciennes religions semblent être mises de côté. Je cite, entre autres, la famille Allingwyrd, et ma propre famille Hubbart, j’en ai bien peur.

J’ignore ce que l’avenir nous réserve, mais je ne doute pas qu’un jour, même la lointaine Ynis Vitrin verra l’étendard de l’Unique se dresser dans son port, et à partir de là, je crains que les peuples humains civilisés perdent tout contact avec les peuples extérieurs. Cela est, à mon avis, le plus grand désappointement du Conseil des Sages, qui aujourd’hui souhaiterait probablement n’avoir jamais émis la théorie sur la non-existence des dieux.



Signé Roderick Hubbart


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